martes, 9 de agosto de 2011

Merklen y Castel; GBA, Río, Sao Paulo, Ciudad de México, Banlieue francesas y los Riots de Londres.



Si no hay “tejido social”, la maldita e impresentable red punteril “pejotista”; el vacío lo terminan ocupando los Comandos y Carteles.

Hace rato que lo venimos avisando; ahora, no queda otra que bailar con la que se tiene a mano.


La réflexion déployée par Denis Merklen, tout à la fois sociologique et politique, sur les dynamiques de territorialisation des classes populaires dans les sociétés du Sud a, dès lors, vocation à s’étendre à d’autres villes et d’autres sociétés, en constituant un possible miroir pour des questionnements qui traversent, aujourd’hui, la société française (et d’autres encore).

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L’« Âge classique de la citoyenneté à partir de laquelle on approche les classes populaires est teinté d’une essence normative issue tout droit des combats de la modernité contre ses ennemis du XVIII et XIXe siècle », écrit Denis Merklen qui montre comment le concept, mobilisé sur ce mode, opère comme un « obstacle épistémologique ».

Comprendre comment on devient individu dans un contexte de précarité et reconnaître, par là-même, l’émergence de formes nouvelles de citoyenneté suppose d’admettre que les « classes populaires ne vivent pas leur citoyenneté de la même façon que les classes moyennes », écrit-il encore.

La « politicité des classes populaires », ce par quoi il faut entendre une nouvelle forme de politique bâtie dans la tension entre « urgence » et « projet » ainsi que dans leur relation aux traditions politiques, constitue un outil conceptuel permettant de cerner ce qui demeure un angle mort pour des sciences sociales trop obsédées par une conception de la citoyenneté dépourvue de contenu sociologique.

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L’ouvrage de Denis Merklen porte ainsi une charge sévère contre les membres de la frange « supérieure » des « classes moyennes », auto-identifiées comme telles.

Il s’agit d’abord des « nouvelles classes moyennes », peu réactives face au mouvement de désaffiliation et de creusement des inégalités particulièrement sensible en Argentine suite aux « réformes » menées par le président Carlos Menem [15], et dont Denis Merklen livre un édifiant bilan statistique.

Sortant « gagnants » de ce mouvement de libéralisation économique, cette frange de la population formée de professions libérales, d’employés et de commerçants se sont identifiées aux nouveaux modèles de consommation désormais prônés, et soutenu ce faisant cette évolution que certains chercheurs ont qualifié de « modernisation exclusive » [16].

La communauté sociologique est également pointée du doigt pour son normativisme ethnocentrique, qui l’empêche trop souvent de repérer les formes particulières d’individuation à l’œuvre dans les quartiers pauvres [17], et plus encore celles de la participation politique qui en découle, celles-ci ne correspondant pas à l’idéal de citoyenneté que portent ces classes moyennes.

Quartiers populaires, quartiers politiques, Denis Merklen, con prefacio de Robert Castel.

http://livre.fnac.com/a2440750/Denis-Merklen-Quartiers-populaires-quartiers-politiques?PID=1

http://www.alterinfos.org/spip.php?article3627

http://www.liens-socio.org/article.php3?id_article=5640

http://www.histoire-politique.fr/index.php?numero=03&rub=comptes-rendus&item=194

http://www.paperblog.fr/1527006/denis-merklen-quartiers-populaires-quartiers-politiques-ed-la-dispute/

http://www.dailymotion.com/video/x85z5u_denis-merklen_news

5 comentarios:

Carlos dijo...

Disculpe por el fuera de tema, pero quería avisarle de esto. Parece que la mancha se extiende: http://www.radiojai.com.ar/online/notiDetalle.asp?id_Noticia=56346

wal dijo...

Los proximo a traducir (si ya no lo esta) son los de Javier Auyero, Manolo.

wal


http://books.google.com.ar/books?hl=es&lr=&id=2t4gF0I9xZcC&oi=fnd&pg=PA13&dq=javier+auyero+clientelismo+politico&ots=nifWfnhCfz&sig=bUQckd6st4p4AQa52FbHDKckcJ8#v=onepage&q&f=false

Eco dijo...

Trama social no es solamente la de los punteros pejotistas. Y en muchos casos, los "comandos y carteles" son los primeros beneficiados de la red pj.

Al Peronismo le sobra Narciso. Noten como quedó el bello griego por insistir en mirarse el ombligo.

rib dijo...

Las inscripciones territoriales como "formes particulières d’individuation à l’œuvre dans les quartiers pauvres [17]" a mi me suenan un poquito medievales.

Hoy en dia el impuesto territorial es muy pequeño respecto del IVA al consumo.

Por ello Javier Auyero puede decir:
"Los movimientos de desocupados participaron mucho menos en los saqueos [de 2001]. Es lógico, porque ellos sí son una organización. Ellos podían acordar entrega de mercadería y, también, controlar a sus seguidores. Hay episodios, por ejemplo en Avellaneda, cuando las negociaciones se iban de las manos, los propios líderes piqueteros decían “nos retiramos del lugar”. Las organizaciones, ex post, condenan los saqueos. Desde una visión sociológica clásica podría ser un escenario en el que las redes clientelares se estaban vaciando de sus recursos. Si uno hace memoria, en el gobierno de Fernando de la Rúa los recursos iban más a ONG, organizaciones de piqueteros para vaciar las organizaciones peronistas."

El pobre que también está monetizado no es ajeno a la sociedad de consumo y cuando en un saqueo se lleva un plasma no es necesidad, es demanda lacaniana.

La feroz mala fe del super yo.

rib dijo...

http://videocafe.crooksandliars.com/scarce/68-year-old-darcus-howe-schools-bbc-anchor-