sábado, 19 de mayo de 2012

Futbol y Praxis Peronista; Cambronne Campeón de la Champions Leage.








Bild (antes conocido como Bild-Zeitung) es un diario alemán fundado en 1952 que ostenta el primer puesto en cuanto a tirada diaria en Europa y el tercero en el mundo (2004).
Pertenece al grupo editorial Axel Springer, el mismo que publica el rotativo Die Welt.
A pesar de ser considerado sensacionalista, disfruta de gran influencia sobre la opinión pública de Alemania.
Sus artículos cuentan con grandes titulares y están escritos en un lenguaje claro y sencillo.


Kicker Sportmagazin es una prestigiosa revista de fútbol alemana, la más importante del país y una de las referentes del continente europeo.
Fue fundada en 1920 por Walther Bensemann y se publica dos veces por semana, los lunes y jueves.
Kicker fue una de las revistas pioneras, junto a la española Don Balón entre otros, en la creación del grupo de publicaciones futbolísticas European Sports Magazines.
La revista hace especial seguimiento al fútbol nacional, particularmente la Bundesliga germana, resultados, clasificaciones, noticias y fichajes.
Al igual que otras publicaciones deportivas, como Marca, Kicker entrega anualmente el trofeo al máximo goleador del año en la Bundesliga, el Kicker Torjägerkanone.

Como explicar lo que todo Periodista Deportivo sabe, pero no se anima a expresar.

El Antifútbol ha vencido; como antitesis del Arte, Barça; de la Estrategia, Madrid; del Fervor, Napoli; o de la Disciplina Táctica, Bayer.

Una banda de Veteranos Mercenarios, medio equipo titular tiene o sobrepasa los 30, Roman Abramovich gasto 900 millones de euros en 9 años, hacer clic aquí; se llevaron puestos a los Grandes de Europa en base a astucia, sudor y sangre fría.

Hace menos de 3 meses se habían “masticado” al DT Vilas-Boas, y con el “provisorio” Roberto Di Matteo, excompañero de varios de los “Viejos”; ganaron la FA Cup y la Champions en menos de 80 días.

Es cierto que serán recompensados, generosamente, en “metálico” por el Magnate Ruso; algo que también ocurriría con el “lírico” Barça o el “noble” Madrid, si fueran los Campeones.

Pero, no son menores esos Intangibles llamados Gloria y Honor; los “camarilleros” le escupieron en la jeta a la Intelligentsia del Futbol, aferrando de los pelos a la suerte, que como todos sabemos es pelada.

"…la Guardia muere, pero no se rinde…¡¡¡Mierda!!!…"



Le lecteur français voulant être respecté, le plus beau mot peut-être qu'un français ait jamais dit ne peut lui être répété.

Défense de déposer du sublime dans l'histoire.

A nos risques et périls, nous enfreignons cette défense.

Donc, parmi ces géants, il y eut un titan, Cambronne.

Dire ce mot, et mourir ensuite, quoi de plus grand ? car c'est mourir que de le vouloir, et ce n'est pas la faute de cet homme, si, mitraillé, il a survécu.

L'homme qui a gagné la bataille de Waterloo, ce n'est pas Napoléon en déroute, ce n'est pas Wellington pliant à quatre heures, désespéré à cinq, ce n'est pas Blücher qui ne s'est point battu ; l'homme qui a gagné la bataille de Waterloo, c'est Cambronne.

Foudroyer d'un tel mot le tonnerre qui vous tue, c'est vaincre.

Faire cette réponse à la catastrophe, dire cela au destin, donner cette base au lion futur, jeter cette réplique à la pluie de la nuit, au mur traître de Hougomont, au chemin creux d'Ohain, au retard de Grouchy, à l'arrivée de Blücher, être l'ironie dans le sépulcre, faire en sorte de rester debout après qu'on sera tombé, noyer dans deux syllabes la coalition européenne, offrir aux rois ces latrines déjà connues des césars, faire du dernier des mots le premier en y mêlant l'éclair de la France, clore insolemment Waterloo par le mardi gras, compléter Léonidas par Rabelais, résumer cette victoire dans une parole suprême impossible à prononcer, perdre le terrain et garder l'histoire, après ce carnage avoir pour soi les rieurs, c'est immense.

C'est l'insulte à la foudre.

Cela atteint la grandeur eschylienne.

Le mot de Cambronne fait l'effet d'une fracture.

C'est la fracture d'une poitrine par le dédain ; c'est le trop-plein de l'agonie qui fait explosion.

Qui a vaincu ?

Est-ce Wellington ?

Non.

Sans Blücher il était perdu.

Est-ce Blücher ?

Non.

Si Wellington n'eût pas commencé, Blücher n'aurait pu finir.

Ce Cambronne, ce passant de la dernière heure, ce soldat ignoré, cet infiniment petit de la guerre, sent qu'il y a là un mensonge, un mensonge dans une catastrophe, redoublement poignant, et, au moment où il en éclate de rage, on lui offre cette dérision, la vie !

Comment ne pas bondir ?

Ils sont là, tous les rois de l'Europe, les généraux heureux, les Jupiters tonnants, ils ont cent mille soldats victorieux, et derrière les cent mille, un million, leurs canons, mèche allumée, sont béants, ils ont sous leurs talons la garde impériale et la grande armée, ils viennent d'écraser Napoléon, et il ne reste plus que Cambronne ; il n'y a plus pour protester que ce ver de terre.

Il protestera.

Alors il cherche un mot comme on cherche une épée.

Il lui vient de l'écume, et cette écume, c'est le mot.

Devant cette victoire prodigieuse et médiocre, devant cette victoire sans victorieux, ce désespéré se redresse ; il en subit l'énormité, mais il en constate le néant ; et il fait plus que cracher sur elle ; et, sous l'accablement du nombre, de la force et de la matière, il trouve à l'âme une expression, l'excrément.

Nous le répétons, dire cela, faire cela, trouver cela, c'est être le vainqueur.

L'esprit des grands jours entra dans cet homme inconnu à cette minute fatale.

Cambronne trouve le mot de Waterloo comme Rouget de l'Isle trouve la Marseillaise, par visitation du souffle d'en haut.

Une effluve de l'ouragan divin se détache et vient passer à travers ces hommes, et ils tressaillent, et l'un chante le chant suprême et l'autre pousse le cri terrible.

Cette parole du dédain titanique, Cambronne ne la jette pas seulement à l'Europe au nom de l'empire, ce serait peu ; il la jette au passé au nom de la révolution.

On l'entend, et l'on reconnaît dans Cambronne la vieille âme des géants.

Il semble que c'est Danton qui parle ou Kléber qui rugit.

Los Miserables, Víctor Hugo, hacer clic aquí.






1 comentario:

Anónimo dijo...

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My web site ; Asunnot Bodrumissa