martes, 3 de abril de 2012

“…nous les pauvres…”, el “virus” llego a la Rive Gauche.


Concrètement, dans quel modèle sud-américain vous retrouvez-vous le plus?

Il n’y a pas un modèle, j’ai emprunté partout.
Par exemple, nous avons beaucoup étudié la sortie de crise de l’argentine et sa façon de gouverner face aux banques.
Je suis très intéressé aussi par les techniques de communication des Kirchner, un mélange de silence et d’affrontement avec la presse.
Au Brésil, c’est la formation même du Parti des Travailleurs, une fédération de toute sortes de gens, comme le Frente Amplio en Uruguay, c’est comme cela que nous construisons le Front de Gauche.
Le Brésil est aussi l’exemple de la question des pauvres et du rôle de la théologie de la libération.
De Venezuela, ce que je reprendrais sans hésiter, c’est l’idée d’une nouvelle Constitution.




El Horror, aunque sea en el lenguaje chic por excelencia, no por ello deja de ser horroroso.
Mucho mas cuando, a confesión de parte, mas que la Teoría lo que importa es
“Fonctionne”.

“A la Bastille, notre slogan c’était l’insurrection civique et la révolution citoyenne.
Peut-être qu’on aurait été capable de l’inventer nous même, je ne sais pas.
Mais en réalité, c’est une idée que nous avons ramenée d’Amérique du Sud, et le fait que cela fonctionne sur place nous donne de la force et de la légitimité pour le proposer".





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