Un poco de Cultura Política Europea ayuda a entender la razonabilidad de ciertas Alianzas que se reiteran en el tiempo.
Le radicalisme est un courant politique français particulièrement influent pendant la Troisième République.
Républicain, très attaché à lapropriété privée et à la laïcité, c'est un parti intermédiaire entre la gauche et la droite susceptible de s'allier aux socialistes ou auxconservateurs suivant les circonstances.
Les radicaux étaient considérés aux début de la IIIe République, très à gauche face aux modérés,ralliés, orléanistes, bonapartistes ou légitimistes.
Avec l'apparition des socialistes, ils occupèrent une position centrale et prédominante sur l'échiquier politique français.
La bipolarisation de la vie politique française entrainée par la Ve République conduit à une marginalisation du radicalisme qui se divise en 1971 entre un parti radical lié à la droite et un autre lié à la gauche.
Histoire
Le Parti républicain, radical et radical-socialiste, plus communément appelé Parti radical ou Parti radical-socialiste est le plus vieux parti politique français et l'étiquette rad.-soc. a longtemps été fort prisée par les candidats aux diverses élections.
Naissance du Parti républicain, radical et radical-socialiste
Les radicaux existent idéologiquement depuis le début du xixe siècle, avec de grandes figures politiques, comme par exemple Ledru-Rollin etLouis Blanc.
Mais on pourrait facilement retrouver des traces de leur existence aux sources même de la Révolution, par les Lumières, et principalement par Voltaire et Condorcet.
Le nom radical vient du fait que ce courant de pensée regroupait les républicains radicaux, qui cohabitaient au parlement avec les républicains modérés, les républicains ralliés et les trois courants monarchistes.
C'est le premier grand parti politique à l'échelle nationale fondé en France.
Jusque là, en effet, il n'existait que des groupes parlementaires de différentes tendances politiques et des comités électoraux locaux aux conceptions encore plus variées.
L'idée de réunir au niveau national, dans un même parti des élus et des militants de même tendance, était un concept révolutionnaire.
A sa naissance, le 21 juin 1901, à Paris, le Parti radical hérite de cette tradition radicale qu’avaient porté de grandes figures politiques commeGambetta ou Clemenceau.
Avant même son apparition en tant que parti politique, le courant radical avait fourni à la République plusieurs grands serviteurs de l’État, sans oublier plusieurs Présidents du Conseil (Ferdinand Buisson, Émile Combes ou Charles Floquet par exemple).
Outre cet héritage, le nouveau parti fusionne avec plusieurs tendances rivales.
C’est un assemblage hétéroclite de comités électoraux, de loges maçonniques, de sections de la Ligue des droits de l’homme, de la Ligue française de l'enseignement, dont la tendance de gauche semble majoritaire à ce moment là.
Le programme politique
Le Radicalisme possède une vision spécifique de l’organisation sociale et humaine fondée sur la primauté de l’individu.
Il prend sa source dans l’histoire même de la République à laquelle il est étroitement lié. La profession de foi du radicalisme est composée de cinq points :
« Laïcité,Solidarité, Humanisme, Tolérance, Universalisme ».
Lors de la fondation du nouveau parti, la déclaration de clôture de ce premier congrès, lue par Camille Pelletan, servit de cheville ouvrière au programme politique revendiqué par les radicaux durant les premières années du xxe siècle.
Cette déclaration insistait donc sur l'union à gauche, la nationalisation des grands monopoles, la séparation de l'Église et de l'État et la création d'un impôt égalitaire basé sur le revenu.
Ce programme fut partiellement appliqué durant les années suivantes, profitant d'une alliance à l'Assemblée nationale, entre les socialistes (deJean Jaurès) et les radicaux (qui mirent Emile Combes au gouvernement).
Cette période fut marquée par la spectaculaire lutte contre les congrégations religieuses.
En 1907, au congrès de Nancy, le parti adopte enfin un véritable programme politique (présenté par une commission dont le rapporteur étaitÉdouard Herriot).
Nettement ancré à gauche, confirmé par le congrès de Pau en 1913, ce programme, avec quelques dépoussiérages, sera la pierre angulaire du programme politique de ce parti durant plus d'un demi-siècle.
Il prône une politique laïque et anticléricale, symbolisée par l’action du Président du Conseil Émile Combes (1902–1905) qui amènera les lois de séparation de l’Église et de l’État par le Gouvernement Aristide Briand.
Il vante la propriété privée : en effet, les radicaux voient dans l’accession des salariés à la propriété le remède aux problèmes de la société industrielle.
Durant l’entre deux guerres, les idées qu'il défend, constituent un ensemble dans lequel se reconnaît une grande partie des Français.
Tout d’abord, un attachement profond à la nation et au régime républicain, identifié au système parlementaire, ensuite une conception de la République qui intègre de manière indissociable la laïcité sans sectarisme, érigé en l’un des fondements de la République, dont l’instruction dispensée par l’école est le moteur du progrès social.
Le tout est mâtiné d’une conception humaniste de la société et de la politique.
Le fonctionnement du parti
Le Parti radical est surtout une machine électorale, dominé par les notables et les parlementaires.
Ceux-ci, membres de droit du Comité exécutif élu chaque année par un congrès, ne se servent du parti que pour les élections. De fait, les structures restent donc très lâches.
C'est lors du congrès fondateur à Paris que le Parti radical prit la forme qui fut la sienne et qui ne fut guère bouleversée au cours des IIIe et IVe République.
Dès les premières heures, les congressistes décidèrent que le groupement de base serait le comité, sachant que dix membres adhérents suffisent pour constituer un comité.
Au niveau du canton, les comités sont alors regroupés, de la même manière au niveau supérieur des arrondissements puis de la circonscription.
Le parti est donc un parti à base géographique où l'ensemble des organismes forme dans chaque département une fédération.
À cette fédération, adhèrent les comités comme les organes de presse ou toute autre structure qui veut s'associer au parti. Il existe donc une coordination du parti au niveau départemental.
Cette organisation pyramidale est chapeautée par un "Comité exécutif", qui a en charge la direction et l'administration du parti entre chaque congrès.
C'est en fait ce "congrès" qui est l'instance suprême du parti.
Le "Comité Exécutif" comprend des membres de droit comme les parlementaires ou les notables locaux.
Ils désignent un bureau de trente trois membres qui élit un président cumulant à la fois le poste de président du bureau et de président du parti.
Dans ses statuts, le Parti Radical prévoit que son président sera élu pour un an.
Le premier sera Gustave Mesureur. Jusqu'à l’arrivée de Édouard Herriot, peu ou prou, cette démarche sera observée.
Son électorat habituel se trouve dans classes moyenne, les milieux petits bourgeois et chez les paysans des pays du sud de la Loire.
Une assise solide pour un parti qui vise, avant tout, à gouverner.
le Parti radical à la Belle Epoque
Le courant radical puis le parti est dominant dans la vie politique française à la Belle Epoque.
Les radicaux participent à tous les gouvernements à partir de 1898 puis les dirige à partir de 1902.
Pendant cette période les radicaux appliquent une partie de leur programme économique et social :
1905 : séparation des Églises et de l'État ;
1906 : création du ministère du travail ;
1910 : création du 1er système de retraites ouvrières et paysannes ;
1914 : création de l'impôt progressif sur le revenu.
Le parti dans « l’entre-deux-guerres »
Le Parti radical voit son apogée durant l’entre-deux-guerres.
Il pèse d’un poids considérable sur la vie politique française.
Ainsi, sur les quarante-deux gouvernements qui se sont succédé durant cette période, treize sont présidés par des Radicaux (quatre gouvernements: Camille Chautemps, trois gouvernements : Édouard Daladier, Édouard Herriot, deux gouvernements : Albert Sarraut et un gouvernement : Théodore Steeg)
Son action demeure prépondérante dans le domaine de l’éducation grâce à deux de ses figures de proues : Édouard Herriot et Jean Zay.
Conséquence directe de cette action, de nombreux intellectuels sont membres du parti ou sympathisants (comme par exemple le philosopheAlain).
Sur le plan interne, la vie du parti est marquée par les oppositions conflictuelles Herriot-Caillaux puis Herriot-Daladier.
De plus, la constitution d’une "Gauche Radicale" au sein même du parti, mouvement regroupant les parlementaires qui rejettent la discipline de parti, marque l’ancrage progressif à gauche de ce parti parlementaire.
Mais ce qui fait la curiosité de cette période d’entre deux guerres, sur le plan national c’est le volte-face politique soudain du Parti radical à la charnière des années trente.
En effet, au début des années vingt, le Parti radical prône une politique de gauche qui envisage de chasser la droite du pouvoir, de rétablir lalaïcité de l’État, d’étendre les lois scolaires, de pratiquer une politique internationale de détente et de conciliation pour consolider la paix, et enfin, de rétablir l’équilibre des finances publiques.
Avec le retour d'Édouard Herriot à la tête du parti en 1931, le Parti radical s’engage sur une voie nouvelle. Il reste, et le revendique, un parti de gauche, ce qui l’amène tout naturellement à pratiquer la "discipline républicaine" des désistements réciproques au profit des socialistes.
Mais, au gouvernement, il se comporte en parti du "juste milieu", capable de regrouper autour de lui la majorité des Français attachée à une République traditionnelle, loin des extrêmes, qu’ils soient réactionnaires ou révolutionnaires.
D’un côté, il dirige le gouvernement du Cartel des gauches (1924-1926), d’un autre, après avoir participé à l’élaboration et à la mise en place duFront populaire en 1936, c’est lui qui l’enterre en 1938.
Mais cette politique antinomique pousse le Parti radical, lorsqu’il est au pouvoir, à l’immobilisme par la contradiction permanente entre sa majorité et sa politique.
Lorsqu’il tente de sortir de cet immobilisme, les gouvernements sont aussitôt renversés.
L’issue de cette paralysie politique est l’émeute du 6 février 1934 qui aboutit à la même conclusion que la panique financière de 1926 : les radicaux sont chassés du pouvoir au profit de la droite.
En résumé, les membres du parti sont tentés par une politique de gauche mais le parti, au gouvernement, pratique très souvent une politique de droite !
Tout cela amènera Édouard Daladier à négocier les accords de Munich et à les faire accepter par son parti lors du fameux XXXVe Congrès de Marseille qui fut marqué par l'incendie tragique des "Nouvelles Galeries"
Le parti radical pendant la Deuxième Guerre mondiale
À la suite de la débâcle de juin 1940, la majorité des parlementaires du parti radical, comme la plupart des parlementaires, votent le10 juillet 1940 les pleins pouvoirs au maréchal Philippe Pétain, mais une minorité s'y oppose.
Vincent Badie en particulier rédige une protestation contre la dictature qu'il prévoit.
Tentant de monter sur la scène de grand Casino de Vichy où est rassemblé le Parlement, il est empêché de parler en vertu du réglement.
Une grande partie des 80 parlementaires qui ont refusé de voter les pleins pouvoirs sont des radicaux.
Sous l'occupation, de nombreux radicaux sont victimes du régime de Vichy qui cherche des responsables de la défaite parmi les anciens ministres de la IIIe République.
Édouard Herriot est démis de son mandat de maire de Lyon.
Édouard Daladier subit le procès de Riom.
Jean Zay et Maurice Sarraut seront assassinés par la Milice.
Plusieurs radicaux se lancent résolument dans la Résistance, tel Jean Moulin ouPierre Mendès France, même si une frange du parti radical apporte également son soutien à Philippe Pétain ou Pierre Laval.
À partir de 1943, le parti radical d'Afrique du Nord joue un rôle important au sein du CFLN, dont le vice-président est Henri Queuille.
Le déclin de l'Après-Guerre
À la Libération, le parti s'effondre au dessous des 10% aux élections, dominées par les gaullistes et les communistes.
Pierre Mendès France le redresse un temps, mais les crises sont nombreuses, notamment avec l'exclusion d'Edgar Faure.
L'échec de la rénovation amorcée par Pierre Mendès France, qui démissionne en 1957, et la bipolarisation de la vie politique de la Ve République annoncent dix années difficiles pour le parti.
En 1969, Jean-Jacques Servan-Schreiber prend la tête du parti et donne un nouveau visage emblématique aux radicaux.
Mais lors du congrès de Suresnes (15-17 octobre 1971), deux logiques s'affrontent : celle de Jean-Jacques Servan Schreiber, partisan d'une stratégie d'alliance d'un centrisme réformateur (431 voix), et celle de Maurice Faure, partisan d'une union à gauche (237 voix).
En 1972, une partie suit donc son leader en adhérant au Mouvement réformateur, l'autre créant sous la direction de Robert Fabre le Mouvement des radicaux de gauche (MRG), signataire du programme commun.
Dès lors, les deux partis se réclament héritiers du Parti radical, le Parti radical dit « valoisien », légalement successeur, et le Parti radical de gauche, qui prétend être l'héritier politique.
Ces deux branches restent cependant liées en formant au Sénat le Rassemblement démocratique et social européen, le plus ancien groupe parlementaire français.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_républicain,_radical_et_radical-socialiste
20 comentarios:
che loco, por qué no te tomás el laburo de traducirlo, o te crees que somos todos políglotas como vos !!!!!
y de paso te hacés Wiki y completás el artículo en español http://es.wikipedia.org/wiki/Partido_Radical_y_Radical_Socialista
un plaisir...c'etais l'heure..!
meme pour le morceax en italien sur le marxisme.
A la pi pe tua.
Au revoir.
¿Y los subtítulos, che?
Toni
Esta dirigido a nuestros Republicanos Radical Socialistas, que sienten estar en Paris, pero rodeados de Africa.
Un abrazo
Anonim@
Prefiero el “chori” ;-P
Un abrazo
Guille
Como le digo a Toni, solo “e per codere”
Un abrazo
Frases sueltas:
"El nombre radical viene del hecho de que esta corriente de pensamiento reagrupaba a los republicanos radicales.."
"Es el primer gran partido politico a escala nacional fundado en Francia"
"Es un conjunto heterogeno de comites electorales, de logias masonicas, de secciones de la liga de derechos del hombre, de la liga francesa para la ensenianza, donde la tendencia de izquerda parece mayoritaria en aquel momento"
.................................
Todo parecido con la realidad en pura coincidencia..
interesante Manolo..
No entiendo al radicalismo para nada. Nunca lo entendí.
El Lurker
bien manolo. ahora entiendo.
usted siempre tan sutil.
un abrazo
Estimado Manolo:
a) esta bien escriba en el idioma que quiera,es su propiedad privada,de todas formas me impresiona como una falta de respeto.
b)nuestro radicales no tienen nada que ver con los socialistas,tienen mucho mas que ver con los peronistas.Y menos que menos con una nacion colonialista como Francia en el centro Europa.
A quien se refiere especificamente sobre "creen que estan en Paris"?
Le recomiendo que le pegue una leida a las Memorias de Raymond Aron.
Cordiales Saludos
Anonimo Bostero
Siempre se aprende algo. Muy simpático este radicalismo francés. En cualquier momento me afilio.
Manolo, paso con el francés.
Los hoy republicanos no tienen nada que ver con el hijo del pulpero de Balvanera, jefe mazorquero, fusilado y colgado en plaza pública, donde la M final posterior fue una pulsión de vida, tampoco con el Peludo y menos -para mí- con mi abuelo criollo, a quien un sable de la montada abrió en canal en la toma del Lisandro de la Torre. Los radicales se han ido deshilachado el sueño del 3er movimiento. La nostalgia por un París desconocido frente a una ilusoria Africa en derredor yo la advierto poco, pero bien puede reemplazarla el extrañamiento, no necesariamente republicano, ante una Argentina donde el número de familias durmiendo en las calles es creciente o el cirujeo es llamado reciclado.
Me preocupa que uno tiene la estatura de su enemigo, porque los enemigos se eligen.
Un saludo peronista,
Yukio
Si bien se pueden encontrar rasgos de familia entre el radicalismo que describe el post y la UCR, en realidad la semejanza es con el Partido Socialista.
Saludos
es de la boca del viejo
de anda salen las verdades
En la época de Balbín el radicalismo era liberal en lo económica salvo por el tema del petróleo, no?
Pero es que no les queda más remedio que mirar a París.
Hoy por ahí se hablaba del pragmático peronismo mirando al pragmático EEUU...
Pero no vale la pena.
México nos ganó de mano:
Ya ubicaron a unas cuántas estrellas en Hollywood
次期衆院選に向けた読売新聞社と早稲田大学の共同世論調査(面接方式)で、自民党と民主党 peronistas の政権担当能力に対する有権者意識の変化を探ったところ、自民への評価が急速に低下していることが明確になった。
1月31日~2月1日に実施し gorilas de mierdaた調査で、自民に政権担当能力があると答えた人は54%で、 radicales de mierda昨年10月の67% inútiles同12月の61%からさらに下落した。これに対し、民主は46%→50%→51%と推移し、政権を争う2del primero al último大政党が肩を並べる格好になった。
読売・早大共同調査は、自民、民主に対する有権者の意識の変化が、投票行動にどう結びつくのかを探るのが狙いだ。
今回を含む計3回の調査で、 empresarios 政権担当能力があると思うかどうかを、自民、民主それぞれについて聞き、当初はmanga de garcas自民が民主を21ポイント上回ってい た。自民が大きく減らしたことで、今回、cagadoresその差は3ポイントまで縮まった。特に無党派層では、自民に政権担当能力が「ある」との答えは44%で、民主の 45%を初めて下回った。
また、「民主に一度、putos政権を任せてもよい」と思う人は58%(昨年10月)→65%(同12月)と増え、今回も64%を記録した。政権交代容認は 世論の約3分の2を占めている。ただ、自民の政権担当能力への疑念が広がっているにもかかわらず、「民主に任せてもよい」との答えが伸びなかったのは、民 主の政権担当能力そ buzzi la recのものへの de tu her評価が高まっていないためと見られる。
総額2兆円の定額給付金を盛り込んだ国の平成20年度第2次補正予算が成立したことに関連し、和歌山県町村会は5日、「超高齢化と過疎化、経済の 疲弊にあえぐ地方にとって危機的状況を救済する重要な施策」として、早期支給を求める要望書を倉田雅年・総務副大臣に提出した。総務省は「自治体などから 定額給付金の早期支給を求める要望を受けるのは初めて」としている。
要望書は「国会においては補正予算が成立したものの関連法案の審議が進展せず、支給のめどが立たない状況にあることは誠に残念の極み」とし、「地域町村長の総意として、関連法案を一日も早く成立させ、早期に定額給付金が支給されるよう強く求める」と要望している。
早期支給を求める同県北山村の住民337人と、同県有田川町の町議会議長ら住民代表5人の署名も併せて提出した。
北山村によると、人口509人のうち定額給付金の支給額が2万円となる65歳以上の高齢者は237人、18歳以下が66人。署名は村議が中心となって住民から集めたという。
県内21町村でつくる県町村会長の奥田貢・北山村長が上京し、この日午前に県選出の自民党国会議員や倉田副大臣らを訪問した。午後には首相官邸を訪れ、麻生太郎首相あての要望書を秘書官に提出し、todo el aguante a N y C 公明党国会議員らにも陳情する。Un saludo peronista.
Comme c est facil de placer la droite et la gauche lá oú n y a pas de peronisme. Ici ce n est pas le cas. Le peronisme change tout. Ce qui ne change pas ce sont les radicaux. Partout des impuissants.
Anonime chinois. Mais Nestor et Christine ne sont pas de peronistes, ils ne sont pas de gauche ni de droite, ils ne sont pas des radicaux, ils sont du parti monarchiste.
El autor de este blog está demente
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