miércoles, 4 de febrero de 2009

Parti républicain, radical et radical-socialiste


Un poco de Cultura Política Europea ayuda a entender la razonabilidad de ciertas Alianzas que se reiteran en el tiempo.

Le radicalisme est un courant politique français particulièrement influent pendant la Troisième République


Républicain, très attaché à lapropriété privée et à la laïcité, c'est un parti intermédiaire entre la gauche et la droite susceptible de s'allier aux socialistes ou auxconservateurs suivant les circonstances. 


Les radicaux étaient considérés aux début de la IIIe République, très à gauche face aux modérés,ralliésorléanistesbonapartistes ou légitimistes


Avec l'apparition des socialistes, ils occupèrent une position centrale et prédominante sur l'échiquier politique français


La bipolarisation de la vie politique française entrainée par la Ve République conduit à une marginalisation du radicalisme qui se divise en 1971 entre un parti radical lié à la droite et un autre lié à la gauche.


Histoire


Le Parti républicain, radical et radical-socialiste, plus communément appelé Parti radical ou Parti radical-socialiste est le plus vieux parti politique français et l'étiquette rad.-soc. a longtemps été fort prisée par les candidats aux diverses élections.


Naissance du Parti républicain, radical et radical-socialiste


Les radicaux existent idéologiquement depuis le début du xixe siècle, avec de grandes figures politiques, comme par exemple Ledru-Rollin etLouis Blanc


Mais on pourrait facilement retrouver des traces de leur existence aux sources même de la Révolution, par les Lumières, et principalement par Voltaire et Condorcet


Le nom radical vient du fait que ce courant de pensée regroupait les républicains radicaux, qui cohabitaient au parlement avec les républicains modérés, les républicains ralliés et les trois courants monarchistes.


C'est le premier grand parti politique à l'échelle nationale fondé en France. 


Jusque là, en effet, il n'existait que des groupes parlementaires de différentes tendances politiques et des comités électoraux locaux aux conceptions encore plus variées. 


L'idée de réunir au niveau national, dans un même parti des élus et des militants de même tendance, était un concept révolutionnaire.


A sa naissance, le 21 juin 1901, à Paris, le Parti radical hérite de cette tradition radicale qu’avaient porté de grandes figures politiques commeGambetta ou Clemenceau


Avant même son apparition en tant que parti politique, le courant radical avait fourni à la République plusieurs grands serviteurs de l’État, sans oublier plusieurs Présidents du Conseil (Ferdinand BuissonÉmile Combes ou Charles Floquet par exemple). 


Outre cet héritage, le nouveau parti fusionne avec plusieurs tendances rivales. 


C’est un assemblage hétéroclite de comités électoraux, de loges maçonniques, de sections de la Ligue des droits de l’homme, de la Ligue française de l'enseignement, dont la tendance de gauche semble majoritaire à ce moment là.


Le programme politique


Le Radicalisme possède une vision spécifique de l’organisation sociale et humaine fondée sur la primauté de l’individu. 


Il prend sa source dans l’histoire même de la République à laquelle il est étroitement lié. La profession de foi du radicalisme est composée de cinq points : 


« Laïcité,SolidaritéHumanismeToléranceUniversalisme ».


Lors de la fondation du nouveau parti, la déclaration de clôture de ce premier congrès, lue par Camille Pelletan, servit de cheville ouvrière au programme politique revendiqué par les radicaux durant les premières années du xxe siècle. 


Cette déclaration insistait donc sur l'union à gauche, la nationalisation des grands monopoles, la séparation de l'Église et de l'État et la création d'un impôt égalitaire basé sur le revenu.


Ce programme fut partiellement appliqué durant les années suivantes, profitant d'une alliance à l'Assemblée nationale, entre les socialistes (deJean Jaurès) et les radicaux (qui mirent Emile Combes au gouvernement). 


Cette période fut marquée par la spectaculaire lutte contre les congrégations religieuses.


En 1907, au congrès de Nancy, le parti adopte enfin un véritable programme politique (présenté par une commission dont le rapporteur étaitÉdouard Herriot). 


Nettement ancré à gauche, confirmé par le congrès de Pau en 1913, ce programme, avec quelques dépoussiérages, sera la pierre angulaire du programme politique de ce parti durant plus d'un demi-siècle.


Il prône une politique laïque et anticléricale, symbolisée par l’action du Président du Conseil Émile Combes (1902–1905) qui amènera les lois de séparation de l’Église et de l’État par le Gouvernement Aristide Briand


Il vante la propriété privée : en effet, les radicaux voient dans l’accession des salariés à la propriété le remède aux problèmes de la société industrielle.


Durant l’entre deux guerres, les idées qu'il défend, constituent un ensemble dans lequel se reconnaît une grande partie des Français. 


Tout d’abord, un attachement profond à la nation et au régime républicain, identifié au système parlementaire, ensuite une conception de la République qui intègre de manière indissociable la laïcité sans sectarisme, érigé en l’un des fondements de la République, dont l’instruction dispensée par l’école est le moteur du progrès social. 


Le tout est mâtiné d’une conception humaniste de la société et de la politique.


Le fonctionnement du parti 


Le Parti radical est surtout une machine électorale, dominé par les notables et les parlementaires. 


Ceux-ci, membres de droit du Comité exécutif élu chaque année par un congrès, ne se servent du parti que pour les élections. De fait, les structures restent donc très lâches.


C'est lors du congrès fondateur à Paris que le Parti radical prit la forme qui fut la sienne et qui ne fut guère bouleversée au cours des IIIe et IVe République. 


Dès les premières heures, les congressistes décidèrent que le groupement de base serait le comité, sachant que dix membres adhérents suffisent pour constituer un comité.


Au niveau du canton, les comités sont alors regroupés, de la même manière au niveau supérieur des arrondissements puis de la circonscription. 


Le parti est donc un parti à base géographique où l'ensemble des organismes forme dans chaque département une fédération.


À cette fédération, adhèrent les comités comme les organes de presse ou toute autre structure qui veut s'associer au parti. Il existe donc une coordination du parti au niveau départemental.


Cette organisation pyramidale est chapeautée par un "Comité exécutif", qui a en charge la direction et l'administration du parti entre chaque congrès. 


C'est en fait ce "congrès" qui est l'instance suprême du parti.


Le "Comité Exécutif" comprend des membres de droit comme les parlementaires ou les notables locaux. 


Ils désignent un bureau de trente trois membres qui élit un président cumulant à la fois le poste de président du bureau et de président du parti. 


Dans ses statuts, le Parti Radical prévoit que son président sera élu pour un an. 


Le premier sera Gustave Mesureur. Jusqu'à l’arrivée de Édouard Herriot, peu ou prou, cette démarche sera observée.


Son électorat habituel se trouve dans classes moyenne, les milieux petits bourgeois et chez les paysans des pays du sud de la Loire. 


Une assise solide pour un parti qui vise, avant tout, à gouverner.


le Parti radical à la Belle Epoque


Le courant radical puis le parti est dominant dans la vie politique française à la Belle Epoque


Les radicaux participent à tous les gouvernements à partir de 1898 puis les dirige à partir de 1902.


Pendant cette période les radicaux appliquent une partie de leur programme économique et social :


Le parti dans « l’entre-deux-guerres »


Le Parti radical voit son apogée durant l’entre-deux-guerres


Il pèse d’un poids considérable sur la vie politique française. 


Ainsi, sur les quarante-deux gouvernements qui se sont succédé durant cette période, treize sont présidés par des Radicaux (quatre gouvernements: Camille Chautemps, trois gouvernements : Édouard DaladierÉdouard Herriot, deux gouvernements : Albert Sarraut et un gouvernement : Théodore Steeg)


Son action demeure prépondérante dans le domaine de l’éducation grâce à deux de ses figures de proues : Édouard Herriot et Jean Zay


Conséquence directe de cette action, de nombreux intellectuels sont membres du parti ou sympathisants (comme par exemple le philosopheAlain).


Sur le plan interne, la vie du parti est marquée par les oppositions conflictuelles Herriot-Caillaux puis Herriot-Daladier. 


De plus, la constitution d’une "Gauche Radicale" au sein même du parti, mouvement regroupant les parlementaires qui rejettent la discipline de parti, marque l’ancrage progressif à gauche de ce parti parlementaire.


Mais ce qui fait la curiosité de cette période d’entre deux guerres, sur le plan national c’est le volte-face politique soudain du Parti radical à la charnière des années trente.


En effet, au début des années vingt, le Parti radical prône une politique de gauche qui envisage de chasser la droite du pouvoir, de rétablir lalaïcité de l’État, d’étendre les lois scolaires, de pratiquer une politique internationale de détente et de conciliation pour consolider la paix, et enfin, de rétablir l’équilibre des finances publiques.


Avec le retour d'Édouard Herriot à la tête du parti en 1931, le Parti radical s’engage sur une voie nouvelle. Il reste, et le revendique, un parti de gauche, ce qui l’amène tout naturellement à pratiquer la "discipline républicaine" des désistements réciproques au profit des socialistes. 


Mais, au gouvernement, il se comporte en parti du "juste milieu", capable de regrouper autour de lui la majorité des Français attachée à une République traditionnelle, loin des extrêmes, qu’ils soient réactionnaires ou révolutionnaires.


D’un côté, il dirige le gouvernement du Cartel des gauches (1924-1926), d’un autre, après avoir participé à l’élaboration et à la mise en place duFront populaire en 1936, c’est lui qui l’enterre en 1938


Mais cette politique antinomique pousse le Parti radical, lorsqu’il est au pouvoir, à l’immobilisme par la contradiction permanente entre sa majorité et sa politique. 


Lorsqu’il tente de sortir de cet immobilisme, les gouvernements sont aussitôt renversés. 


L’issue de cette paralysie politique est l’émeute du 6 février 1934 qui aboutit à la même conclusion que la panique financière de 1926 : les radicaux sont chassés du pouvoir au profit de la droite.


En résumé, les membres du parti sont tentés par une politique de gauche mais le parti, au gouvernement, pratique très souvent une politique de droite !


Tout cela amènera Édouard Daladier à négocier les accords de Munich et à les faire accepter par son parti lors du fameux XXXVe Congrès de Marseille qui fut marqué par l'incendie tragique des "Nouvelles Galeries"


Le parti radical pendant la Deuxième Guerre mondiale


À la suite de la débâcle de juin 1940, la majorité des parlementaires du parti radical, comme la plupart des parlementaires, votent le10 juillet 1940 les pleins pouvoirs au maréchal Philippe Pétain, mais une minorité s'y oppose. 


Vincent Badie en particulier rédige une protestation contre la dictature qu'il prévoit. 


Tentant de monter sur la scène de grand Casino de Vichy où est rassemblé le Parlement, il est empêché de parler en vertu du réglement. 


Une grande partie des 80 parlementaires qui ont refusé de voter les pleins pouvoirs sont des radicaux.


Sous l'occupation, de nombreux radicaux sont victimes du régime de Vichy qui cherche des responsables de la défaite parmi les anciens ministres de la IIIe République. 


Édouard Herriot est démis de son mandat de maire de Lyon


Édouard Daladier subit le procès de Riom


Jean Zay et Maurice Sarraut seront assassinés par la Milice


Plusieurs radicaux se lancent résolument dans la Résistance, tel Jean Moulin ouPierre Mendès France, même si une frange du parti radical apporte également son soutien à Philippe Pétain ou Pierre Laval


À partir de 1943, le parti radical d'Afrique du Nord joue un rôle important au sein du CFLN, dont le vice-président est Henri Queuille.


Le déclin de l'Après-Guerre


À la Libération, le parti s'effondre au dessous des 10% aux élections, dominées par les gaullistes et les communistes. 


Pierre Mendès France le redresse un temps, mais les crises sont nombreuses, notamment avec l'exclusion d'Edgar Faure


L'échec de la rénovation amorcée par Pierre Mendès France, qui démissionne en 1957, et la bipolarisation de la vie politique de la Ve République annoncent dix années difficiles pour le parti.


En 1969, Jean-Jacques Servan-Schreiber prend la tête du parti et donne un nouveau visage emblématique aux radicaux. 


Mais lors du congrès de Suresnes (15-17 octobre 1971), deux logiques s'affrontent : celle de Jean-Jacques Servan Schreiber, partisan d'une stratégie d'alliance d'un centrisme réformateur (431 voix), et celle de Maurice Faure, partisan d'une union à gauche (237 voix). 


En 1972, une partie suit donc son leader en adhérant au Mouvement réformateur, l'autre créant sous la direction de Robert Fabre le Mouvement des radicaux de gauche (MRG), signataire du programme commun.


Dès lors, les deux partis se réclament héritiers du Parti radical, le Parti radical dit « valoisien », légalement successeur, et le Parti radical de gauche, qui prétend être l'héritier politique. 


Ces deux branches restent cependant liées en formant au Sénat le Rassemblement démocratique et social européen, le plus ancien groupe parlementaire français.


http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_républicain,_radical_et_radical-socialiste


Patacones, la respuesta es Patacones.

Rollo, en la Ciencia Maldita publico el siguiente Post.

 

Concurso de LCM por 800.000.000.000 dólares.

 

En todo caso, estamos en una situación bastante ridícula. No sabemos cómo hacer para que los norteamericanos consuman más, cuando el problema original era que consumían demasiado. Me parece que a la estrategia Obama le está faltando, y le está faltando maal, una estrategia de coordinación internacional. Sí, los norteamericanos tienen que consumir más que ahora, pero menos que antes. Los chinos tienen que consumir más que ahora y más que antes. Oh, ciencia maldita, el arte de lo imposible.

 

martes, 3 de febrero de 2009

El Socialismo Realmente Existente, en Rosario off course.

Antes de empezar asumo públicamente la tirria que nos prodigamos, mutuamente, peronistas y socialistas.


La historia es muy vieja, del año 44, cuando Borlenghi y Bramuglia quisieron convertir a Perón en el primer Presidente Socialista de América.


Perdieron la interna y fueron expulsados del PS.


Lo que resulta casi insólito es que si hubieran ganado, el Coronel hubiera encabezado la ¡Unión Democrática!, en lugar de Tamborín y Mosca.


De eso no hablas, ¿no es cierto Sebrelli? ;-P


José Peter, uno de los más grandes dirigentes Sindicales de la Historia Argentina, se lamento toda su vida de haber seguido el criterio de Victorio Codovilla.


El Comité Central del PCA estaba demasiado ansioso por conseguir el reconocimiento de la Burguesía.


En fin, la eterna historia, no saber leer la Realidad te lleva a estar en el Lugar y Momento equivocados.


Pero volvamos a la actualidad, los “Reformistas” siempre se han destacado por ser maestros del “arte del escapismo”.


Técnica ilusionista que consiste en lograr escapar de ataduras y cadenas que, en principio, parecen imposibles de abrir:

Diccionario de la lengua española © 2005 Espasa-Calpe S.A., Madrid:


Para más datos técnicos sobre este tipo de Arte, el Compañero MauriK es una autoridad en la materia.


No porque él sea Socialista, sino para aprender a protegernos de este tipo de ilusionismo.


Ya van dos veces que los santafesinos nos dejan “pegados” mal, con los lecheros en Rosario y ahora en Laguna Paiva; para más datos de esto ultimo Lucas en Artepolítica .


Hermes tiene un “problema” muy grosso con la conducción política de la policía santafesina.


Alguien, o algunos, de los funcionarios designados, esta buscando roña; no es un tema de “negocios” donde los canas pueden cortarse solos.


Son “camas” políticas, y ahí todos hacen saludo uno a la autoridad política.


Entonces, si Binner no les coloca el “bozal” a sus Camaradas, los próximos fiambres serán si o si de su exclusiva responsabilidad personal.


Para entender de quienes estoy hablando, nada mejor que recurrir al reportaje del “Maestro de Juventudes”, Rubén Ghioldi, declarado Ciudadano Ilustre por el Consejo Deliberante de Rosario.


De Rosario 12, 02/05/07

A punto de cumplir 85 años de edad en junio y 40 años como secretario general del gremio mercantil en julio, Rubén Ghioldi será declarado mañana Ciudadano Distinguido de Rosario, por iniciativa del Concejo Municipal (ver aparte). Al frente de uno de los sindicatos más numerosos de la ciudad, lo mantuvo siempre fuera de la órbita del sindicalismo justicialista, sobreviviendo a intentos de intervención durante la década del `70. Cree que la las condiciones laborales han retrocedido un siglo y admite que la asignatura pendiente de su vida es lograr el cumplimiento de la ley de descanso dominical, sancionada en 1905.

-Cambiaron muchas cosas desde que usted comenzó a militar en el sindicalismo, ¿la actitud de las patronales hacia los trabajadores también?

-Por entonces las leyes se cumplían más, el caso de la jornada legal de 8 horas y el descanso dominical. Pero también había muchos conflictos, como con la empresa Benzadón, La Buena Vista, que tenía su sede central en Caferatta y Urquiza. Y otras empresas con directivos que eran paternalistas, que querían trato directo con cada trabajador, sin el sindicato.

-Antes del peronismo, los dirigentes sindicales eran en su mayoría anarquistas o socialistas.

-Así era como se dividía el sindicalismo. Yo estaba enrolado en la Juventud Socialista, en la época de Alfredo Palacios, Alicia Moreau de Justo, Américo Ghioldi, que era primo de mi padre, así como Rodolfo Ghioldi, que era comunista. También teníamos como referente a Nicolás Repetto. Por entonces, el secretario general del empleados de comercio de Rosario era un anarquista, Victorino Rodríguez, un gran orador, que me invitó a que lo acompañara como prosecretario.

-¿Anarquistas y socialistas convivían sin conflictos en los sindicatos?

-Si había peleas, eran solo de tipo ideológico, nada más. Lo que sí, éramos todos antiperonistas. Mi afiliación a la organización sindical fue gracias al peronismo. Yo estaba estudiando para escribano y tenía que rendir Derecho Civil y en todos los programas estaban los puntos que había que hablar sobre el peronismo. Yo dije que no iba a hablar bien por obligación en una mesa de examen. Entonces me juré que hasta que eso no terminara, no iba a seguir estudiando. Y entonces me dediqué exclusivamente al sindicalismo, para combatir a Perón.

-Pero hubo un dirigente mercantil, Angel Borlenghi, que fue socialista y secretario general de empleados de comercio y terminó como ministro del Interior de Perón.

-Era secretario general de la Federación de Empleados de Comercio pero traicionó a sus compañeros, porque se lanzó hacia el peronismo, y Perón lo premió con ese cargo. Nosotros lo combatíamos y entonces él, con más odio que nunca hacia los socialistas, que lo calificábamos de traidor, fue al partido y a la gente que más persiguió desde su ministerio.

-Perón puso en vigencia una serie de leyes laborales y sociales que le permitieron ganar la adhesión de los trabajadores.

-El peronismo utilizó los proyectos legislativos laborales de los socialistas para decir que eran leyes propias. Pero los proyectos eran socialistas. Ellos solamente las pusieron en vigencia.

-A usted le deben haber pegado duro en esos tiempos de dura confrontación política, ¿lo tildaban de gorila?

-Sí, era muy duro. Pero ellos tenían una manera de actuar muy sucia. Nosotros luchábamos por el horario corrido, y a través de la Juventud Sindical Peronista en los años `70 nos persiguieron cuando lanzamos un paro de diez días para pedir la vigencia de ese derecho.

-¿Cómo lograron sobrellevar la época de la última dictadura militar?

-No sé por qué, los militares a nosotros nos respetaron bastante. Tanto es así que hacíamos actos públicos el 1º de Mayo y, como siempre, poníamos el himno de los trabajadores, La Internacional, y nunca nos dijeron nada.

-Si se comparan sus primeros años como sindicalista, ¿los trabajadores avanzaron o retrocedieron en el reconocimiento de sus derechos?

-Hemos retrocedido al año 1900, cuando los trabajadores solo contaban con su fuerza de trabajo, sin cobertura de ninguna clase, y trabajaban de sol a sol. Ahora es más o menos así.

-¿Qué le quedó pendiente de concretar en su lucha gremial?

-El descanso dominical, la primera ley laboral que tuvo el país, sancionada en 1905, denominada "ley Palacios", por el diputado socialista que escribió un libro para hablar exclusivamente de ese tema, denominado "La Fatiga". El descanso dominical es imprescindible para la salud del trabajador. Eso hoy parece que nadie lo entendiera, y nos obligan a trabajar. Esa ley está en vigencia y el gobierno debería hacerla cumplir sin más vueltas y sin negociar nada con los patrones.

-En medio siglo cambio el perfil del empleado mercantil, antes eran todos de traje y corbata.

-Antes el empleado de comercio estaba muy bien mirado. Cuando un muchacho llegaba a la edad de decidir su trabajo, la familia buscaba colocarlo en un comercio o en un banco, donde tenía algún porvenir, alguna posibilidad de progreso. Eso ha cambiado completamente, porque se abrió paso a la explotación total de los trabajadores, hay lugares donde siquiera los dejan ir al baño.

Estimados Críticos, Amigos y Compañeros, espero que haya quedado claro.


Como decían mis Maestros, al Burgués hay que dejarlo hablar, porque es como el pescado; por la Boca muere.

lunes, 2 de febrero de 2009

El Pejotismo como espejo de Blancanieves, o la insoportabilidad de la derrota Cultural.


¿Por qué ese repudio Universal a la estructura demoliberal de la Herramienta Electoral?

Si el “pejotismo” solo es lo construido por la Renovación Peronista después de 1983, a imagen y semejanza de la UCR Alfonsinista.

Orientado a disputar los Sectores Medios, la única representación posible es la Territorial, mediante listas competitivas que deben respetar la composición heterogénea de las Bases.

Asumiendo el compromiso de no ser “sectarios o excluyentes” al permitir a LAS minorías tener voz y voto, lo que vulgarmente se llama Democracia Interna.

Su reactivación a fines del 2007 y las internas de la PBA el año pasado, pusieron en cuestión la imagen que de si mismos tenían los No P Democráticos y Republicanos.

Como la Reina Madrastra ante el Espejo Mágico, su “belleza” se ve ajada ante la frescura de la descocada Blancanieves, que convive con los 7 Enanos.

El Modelo Copiado, la UCR, implosiono bajo la Conducción Pontificia de Alfonsin.

Error tras error, el centenario partido fue llevado a renunciar a su condición de “Sujeto Político”, la ruptura de la Confianza Política divorcio a sus Bases de sus Dirigencias.

Tenemos por un lado al Pueblo Radical sin canales de expresión orgánicos, y del otro lado retazos del aparato que están disponibles como saldos al mejor postor.

Mientras tanto el Liberalismo, la Izquierda y el Progresismo son cacicazgos sin indios o sellos de goma institucionales; parasitando los Personalismos Mediáticos que se comportan hacia adentro como Autocracias ilimitadas.

Entonces vemos Dirigencias que se actúan como Cortesanos, esperando que el DEDO del Príncipe les otorgue Beneficios, que ellos son incapaces de ganar por si mismos.

Porque solo se animan a salir de sus despachos para ir al estudio de la TV por cable, donde se negocian las entrevistas con adocenadas plumas de alquiler.

Enfrentar a pecho descubierto una interna es inimaginable, apelar cara a cara el apoyo popular es correr el riesgo de los reproches de los militantes o simpatizantes de a pie.

El Consenso se convirtió en una categoría platónica, al repudiar la negociación que es su praxis.

Solo existen los Programas Máximos, que implican necesariamente la rendición incondicional por un punto y coma.

Se repudia la Heterogeneidad, bajo el nombre de Hegemonía catch all, mientras que en nombre del purismo se busca la Homogenización Stalinista.

Como la legalidad Constitucional solo reconoce a los Partidos como sujetos autorizados para disputar el Poder, no serlo es una condena al ostracismo.

Pero al no estar Organizados, ni tener vida interna, se corre el riego de falta de Masa Critica.

No es solo activar, o fiscalizar los comicios, hay que cubrir 12.000 espacios administrativos; de Presidente a Consejero Escolar, de Ministro a Director Municipal.

Al no existir una Burocracia Webberiana; como en Alemania, Francia o el Reino Unido; donde los segundos son de “la línea” y llevan el día a día, se corre el riesgo del desastre.

El problema no son las internas, sino la descoordinación y parálisis, que afectan la imagen de todo el Gobierno.

¿Quién manda? es Prefacio de la Crónica de la Caída, porque introduce una incertidumbre insoportable; FdlR puede dar fe.

Siendo sincero, ningún peronista esta conforme con el Corsé del PJ, lo sentimos demasiado limitado; somos 7 Enanos y necesitamos más de 1 Blancanieves. ;-P

O sea, cuantos mas canales de participación orgánica mejor; TODOS los Sujetos Sociales tienen el Derecho y la Obligación de estar representados en el Conjunto.

Pero mientras no se cambien las leyes, hay que adecuarse a ellas, tratando de cumplirlas lo más eficazmente posible.

Aquí es donde se le propino una Derrota Cultural a la Clase Política y al Establisment; jugamos el juego con SUS reglas y los superamos.

Sus principales adalides son Personalidades Mediáticas, incapaces de soportar una compulsa interna o una discrepancia táctica, que no termine en una intervención seguida de clausura.

Sus partidos mas organizados demuestran diariamente la imposibilidad de “concensuar” las minorías y mayorías, sin que se tenga que llegar al extremo del fraude y/o expulsiones manu militari.

En estas condiciones una “Concentración Opositora” es un pasaje al Infierno tan Temido, la Alianza 99.

Resolverlo mediante la Opinión Popular Activa, como quiere el pícaro De Narváez, es desnudar las incapacidades logísticas, ¿preguntarle a Chacho Álvarez?

Resumiendo, el Establishment no tiene otra opción que tratar de disputar el Poder dentro del PJ, donde la multiplicidad de actores diluye su “Concentración” de Lobby’s.

Con la “Escribanía” actuando a full, se terminaron los tête à tête de los Ámbitos Recoletos.

No es un Subsecretario o un Ministro al que hay que “convencer”, son centenares o miles de actores con juego propio; donde la fuente primaria es su “clientela”, a la que deben responder.

La territorializacion lima el Poder de Fuego de los Medios Nacionales, montados en la Bandera de Lucha contra la lista sabana, se llegara a la distritalizacion de las candidaturas legislativas.

Los “Candidatos de Lujo” serán medidos por su capacidad de movilización más que por la fotogenia cholula.

Es materialmente imposible influir en 258 distritos simultáneamente

El “Voto Voluntario”, el “Distrito Uninominal a simple pluralidad de votos”, “renovación total cada dos años”; en fin el sistema americano que tanto aman y reclaman les será otorgado.

Es ese potencial el que los asusta, como los revolucionarios de café que cuando llega la hora son enviados al campo para ser reeducados, pidieron por pedir sin medir las consecuencias.

Nunca imaginaron que la capacidad de reacción del "amado pueblo peronista" fuera tan virulenta.

Solo hace falta una Ley para reempadronar, con cartas documentos, los partidos; para que se caigan todas las caretas.

Solo unos pocos sobrevivirán, el resto ira al lazareto de las ONG y las Fundaciones.